Comment...?

Je le sens

Je le sais

Quand t'as mal à l'autre bout de la terre

Quand tu pleures pendant des heures

Sur mon coeur

Je pourrais hurler

Le jurer même si je ne vois rien

D'où je suis je sens ton chagrin

Quand je me vois sans tes mains

Sans tes bras je ne peux plus respirer

Et j'entends si souvent le chant du vent

Qui vient pour me ramener

Vers tes landes sous ton ciel d'Irlande

Quitter ma vie sans préavis je le ferais

Si tu m'aimes

Même si j'ai tort tout est plus fort

Que la raison tout est plus fort que ton nom

Que je redis et que j'écris sans arrêt

Sur les écrans de ma vie

Et j'espère que chacune des aurores

Que je vois me mènera à ton corps

Je quitterais tout si tu m'aimes

Je sais que je ne me trompe pas

Que quelqu'un part au loin là-bas

Tu penses encore à moi

Tu m'as gardé dans tes bras

Une place, un ébat

Dis-le moi tout bas...

Jamais ne me suis dégagé de son entrise, jamais... j’ai été comme un sorceller par lui, j’ai été son éléphant blanc a lui... sa chance... mais il est parti, il est vraiment parti... Comment des hommes et des femmes ordinaires et aussi claires que nous... sont ils capables d’un romantisme aussi absurde? Des gestes inacceptables? D’une souffrance intolérable? Je vivais dans cet absolu...

Tout ne rime à rien quand on n'a même plus peur
Toutes les raisons de rester sont les leurs
Rien ne te retient, surtout pas le bonheur
Que tu ne cherches plus,
C'est plus l'heure

Je suis là pour ne pas regretter l'absence
Des mots et des liens qui empêchent le silence
Dis moi s'il te plait ce qu'on verra trop tard
Le dernier aveu est-il ce regard?

Parce que tu pars, parce que tu pars
On restera brisé devant l'irréparable

Parce que tu pars, parce que tu pars
On étreindra tout contre soi l'intolérable